
bref, confiant en ma ghuillie suite, je reste immobille sans bouger, surveillant mon adversaire qui, lui ne m'a pas vu et reste couché, pas moyen de donné un signale par radio, il va m'entendre, pas moyen de bouger, il va me repérrer, donc on reste la, moi ca me dérange pas, mon trou est fait et confortable, je suis a l'ombre, et je le tiens en joue. il regarde dans ma diréction, ca craint, ca craint, ca craint, ca craint de plus en plus, soudain l'improbable se produit.
UN PIAF, du genre rouge gorge, viens dans ma direction et se pose, sur MON CHAPPIAT, je ne bouge pas, il reste la.
mon adverssaire ne se méfie pas, se disant que l'oiseau ne peux se poser pret de quelqu'un, il se lève, croyant que je suis parti, et s'éloigne en pestant contre ces salles planqué que son les snipers, sans perturber le moin du monde mon rouge gorge. je fais doucement pivoter mon canon vers son dos et une fois qu'il sort de la limite de courtoisie, PAF, une bille sur l'homoplate, et mon nouveau copain a plume qui reste pantelant sur ma tête, surpris mais visiblement pas éffrayé, jusqu'au moment ou je me lève pour changer de poosition, encore une enquête de la S.P.A, encore un animal frustré par ma faute.
un peut plus tards, mon adversaire campeur me dis que si il n'y avait pas eu l'oiseaux, il serait résté la a attendre, car il voulait vraimenr venger ses camarades sorti sans la moindre hésitation.
merci mon copains l'oiseaux.