Retour sur le Challenge Concord 2020

Allez papy, raconte nous encore comment tu as decimé l'equipe adverse bille à billes !
Splatsh
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Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Splatsh » 03 nov. 2020 19:58

L'aventure Concord

Pour nous c'est une grande première, depuis plusieurs mois nous testons du matériel et des stratégies diverses et variées. Nous faisons le choix de partir avec deux répliques de fusil de précision pour mettre la priorité sur la discrétion plutôt que la puissance de feu. Pour ce qui est de la répartition des rôles je me charge de la topographie et mon camarade de la communication.

La dernière journée de préparation une semaine avant le challenge se solde par une entorse légère pour mon camarade. La semaine passe lentement, la question demeure, va t-on quand même pouvoir participer ?
C'est le jour J, départ de Sarthe vers 18h pour 7h00 de route.
Sur la fin du trajet nous devinons les montagnes autour de nous en empruntant les routes sinueuses. La pleine lune nous laisse entrevoir quelques reliefs.
Une fois sur le parking de rendez-vous nous profitons des quelques heures qu'il nous reste pour dormir un peu à l'arrière de la voiture entre les sacs qui inondent la voiture.

Le lendemain matin tout se passe très vite, le réveil sonne, on s'équipe et les organisateurs arrivent sur le parking pour le briefing. Ce weekend nous sommes le binôme ALPHA 2 assigné à l'escouade ALPHA 1 avec qui nous jouerons pour cette première journée.
Nous embarquons dans les 4x4 direction la zone de jeu. Le soleil est levé et on découvre le paysage montagnard qui nous entoure à travers les vitres du véhicule (En Sarthe ce n’est pas commun).
Au bout des quelques minutes nous quittons la route lisse et sinueuse pour un chemin nettement moins régulier. La route se détériore encore et nous montons une dernière côte, secoués comme des pruniers par les irrégularités du sol.
Arrivés à destination nous récupérons rapidement nos sacs dans le coffre et établissons un périmètre de sécurité avec l’escouade ALPHA 1. Notre contact sur place nous demande d'attendre CHARLIE 1 et 2 avant de commencer à marcher et nous donne nos cartes.
J'en profite pour faire un point topographie et repérer avec ALPHA 1 notre premier objectif.
Le groupe CHARLIE ne tarde pas à nous rejoindre et nous nous mettons en route. On ne sait pas trop à quoi s'attendre et tout le monde est sur le qui vive. Le moindre bruit suspect fait immédiatement s’arrêter la colonne pour un check rapide des environs.
Après quelques tâtonnements topographiques nous arrivons sur un petit sommet à la merci des vents qui sera notre premier bivouac. Notre contact n'est pas très bavard et impossible de savoir si le campement est provisoire ou non. Nous installons juste le tarp pour protéger nos sacs d'éventuelles intempéries.
Nous recevons rapidement notre première mission : se poster à proximité d'un carrefour, attendre qu'un contact transmette des infos à un une escouade et l'abattre dès qu'il sera de nouveau seul.
Nous sommes accompagnés du binôme CHARLIE 2 et nous nous plaçons au dessus de la route pour attendre. La zone est découverte et offre une vue dégagée sur notre future cible.
Durant l'attente des bruits de branche qui craquent, ceux-ci attisent notre curiosité. Nous sommes placés et si un de nous se lève nous risquons de nous faire repérer. Nos camarades CHARLIE 2 sont camouflés sous leur ghillie à 20m de moi, je n'arrive plus à les distinguer dans la végétation. Mon binôme, lui, est à 20 m à ma droite à l’abri dans la pénombre derrière un arbre. Les bruits se rapprochent à notre droite mais semblent encore éloignés et toujours rien sur la route. Je jette un coup d'oeil dans ma lunette voir si j’aperçois quelque chose. Le contact à abattre est bien là mais pas d'escouade en vue.

Soudain mon camarade se lève et passe juste derrière moi en courant. Les premiers tirs éclatent. Les fameux bruits de branches étaient l’escouade qui a bien anticipé nos éventuels placements et nous déborde violemment sur la droite. Je m'allonge dans les fougères et sort mon Mark 23. Ils sont à 15m de moi, je sais à se moment là que je ne réussirai pas à fuir, je fais le choix de tenter de les ralentir pour que le binôme CHARLIE 2 puisse tenter quelque chose. L'attente est courte mais paraît durer une éternité.
Au moment où ils sortent de l'ombre du sous bois je tire à plusieurs reprises et touche deux d'entre eux. La riposte est immédiate. Je reste couché au sol pour indiquer que je suis OUT.
CHARLIE 2 et mon camarade connaissent le même sort quelques secondes plus tard.
Un de mes adversaires s'approche de moi et entreprend de me fouiller. Sans un mot il sort tout ce qu'il trouve dans mes poches, prend des photos et s'en va comme il était venu me laissant avec mon bric à brac étalé sur les genoux.
Quelques minutes plus tard je me lève et sort mon gilet jaune. Nous nous réunissons tout les quatre. En attendant les 15 minutes réglementaires nous évoquons à voix basse ce premier échec cuisant.

De retour en jeu nous recontactons l'organisateur qui nous renvoie sur la même mission. Cette fois pas d'escouade à attendre. Nous nous approchons une seconde fois de la route. Mon binôme n'hésite pas une seconde et traite la cible. Nous nous précipitons sur lui et récupérons la carte qu'il transportait.
Petit moment à part, nous tombons nez à nez avec une grosse salamandre qui s'était retrouvée bloquée sous notre premier objectif. Pour nous, touristes Sarthois, une petite photo s'impose.


Le retour se fait sans difficultés. Il est midi passé et arrivés au campement nous sortons les gamelles pour nous restaurer tout en surveillant les alentours. Nous avons trente minutes avant la prochaine mission.
Il est l'heure. Nous descendons toujours accompagnés de CHARLIE 2 avec nos sacs jusqu'à un petit chemin où nous attend un véhicule. Tout le monde monte à l'arrière. Sur le trajet nous nous arrêtons déposer nos répliques dans la tente orga puis nous repartons dans la campagne environnante à la recherche d'un contact ayant des informations sur notre cible principale.
Arrivés dans un petit hameau le conducteur du véhicule nous désigne l'endroit où est l'informateur et nous passons au ralenti devant lui une première fois. A ce moment là nous croisons un autre véhicule. Ses occupants ont l'air de s'intéresser à la même chose que nous. Nous faisons mine de continuer notre route et attendons plus loin. S'en suit une concertation ou de multiples plans d'approche plus ou moins farfelus sont évoqués. Au deuxième passage on remarque que le véhicule suspect est garé dans un renfoncement un peu plus haut avec un visuel direct sur le 4x4 de notre contact ( « Oui tout le monde a un 4x4 ici »). La décision est prise de s'éloigner une fois de plus et de partir, avec des vêtements civils, en observation à pied.
Une fois le véhicule suspect éloigné nous nous approchons du contact qui nous fait comprendre qu'il est sûrement sur écoute. Après quelques habiles tournures de phrases pour échanger sans révéler le sujet principal l'informateur nous montre trois photos. Ce sont des images thermiques et une fiche d'ADN que nous échangeons contre quelques billets de monnaie locale.

De retour au campement après avoir été déposés à proximité par le véhicule nous avons pour mission de monter au Pic Concord pour rencontrer un garde chasse. Avant de partir nous camouflons nos sacs dans le creux des rochers et rajoutons de la mousse par dessus.
A l'ouest un immense rideau d'eau s'approche et fait disparaître derrière lui tout le paysage. L’ascension se fait donc sous la pluie et ajoute une contrainte supplémentaire. CHARLIE 2 ouvre la marche et nous guide. A 200m de l'arrivée nous recevons un message : « Nous sommes en retard, le garde chasse est parti ».
Le retour se fait sans encombres, les nombreux détours pour éviter les chemins et les zones dégagées nous ont au moins permis de nous déplacer sans être vus.
Arrivés au camp, ALPHA 1 et CHARLIE 1 nous attendent à l'abris sous leur tarp. Nous sommes bien humides et une tranche de saucissons nous remonte le moral.
La nuit va bientôt tomber et il est temps de monter le camp. CHARLIE reste sur place et nous sommes envoyés sur une autre zone avec l'escouade ALPHA 1.

Sur l’initiative de notre escouade nous nous installons derrière un talus qui s'étale en longueur au milieu d'une plantation de résineux. Nous sortons le tarp et la tente. L'un servira d'abris pour manger et « sécher » les affaires tandis que l'autre fera office de dortoir. Une fois le tout monté nous changeons de vêtements pour du sec, quel plaisir !
L'eau est en train de bouillir nous sommes bien installés, les répliques s’égouttent gentiment sur le petit monticule de bois prévu à cet effet.
On remarque que sur le campement de ALPHA 1 les discrètes lumières rouges ont fait place aux lampes torches blanches. Leur squad-leader passe sous notre tarp et nous annonce que son groupe déclare forfait. La pluie a eu raison de leur matériel et impossible pour eux de passer la nuit au sec.
Après un rapide passage des orgas sur notre bivouac pour prendre la température nous nous retrouvons seul dans la zone. Nous nous installons dans la tente et commençons notre nuit.
Autour d’une heure du matin, l'humidité est trop importante et traverse progressivement la toile. Nos sacs de couchage commencent à être humides à l’extérieur et le sol est trempé. La décision est prise de sortir pour nous installer sous le tarp. C'est la seule solution que nous trouvons à ce moment là pour sauver nos duvets. Pour ma part j'avoue qu’à ce moment là j'ai un peu douté.
On prépare avec ce qu'on a sous la main de quoi nous isoler du sol. Un demi tapis de sol, un sac poubelle et nos sacs à dos font l'affaire.
Quelques heures plus tard le réveil sonne, on s'habille à la lumière des frontales avec nos affaires encore mouillées de la veille. La deuxième et dernière journée pointe le bout de son nez et après quelques barres de céréales nous rangeons le matériel dans nos sacs.
Nous avons un nouvel objectif, attendre à proximité d'un chemin l'arrivée d'un contact.
Nous arrivons à destination assez rapidement mais personne en vue. Nous posons les sacs à vingt mètres de la route et attendons. Une heure passe et toujours rien en vu. Le niveau d'attention baisse et on ne voit pas l'escouade qui s'approche sur notre gauche. Un de leurs opérateurs nous remarque et nous engage. Nous nous couchons au sol, je suis touché au pied et mon camarade s'en sort indemne. Par la suite nous changeons de point d'observation pour plus de sécurité.
Le temps passe et une seconde escouade passe devant nous. Nous l'observons à couvert derrière un bosquet. Quelque temps après leur passage nous recevons des informations sur le contact que nous devons rencontrer. Il porte un casque et un gilet tactique multicam. Peu de temps après un véhicule s’arrête sur le chemin et nous apercevons notre contact au bord du chemin. Mon Binôme part prudemment à sa rencontre tandis que je reste à couvert pour le couvrir si besoin. Je le vois s'approcher de l'homme au casque, ils échangent quelques mots et se séparent. Mon camarade s'approche discrètement du véhicule et sort de sous sa veste un paquet. Après l'avoir déposé dans le coffre il quitte le chemin et me rejoint rapidement. Il m'explique que ce paquet est une bombe et qu'il doit appeler un numéro pour la déclencher. L'effet est vraiment bluffant, une fois l'appel déclenché une puissante explosion retentie et les bois sont envahis d'une épaisse fumée. Nous nous éloignons rapidement. Le chauffeur et son véhicule qui devaient évacuer le dictateur en fuite, est neutralisé.
Pour nous la suite semble logique. Notre dernière cible est le dictateur.
On nous demande de nous rendre aux abords ou à l’abord d'un chemin et d'éviter tout contact. Nous progressons lentement à travers les zones rocheuses et boisées. Pour se guider nous suivons le chemin principal tout en restant à bonne distance. La pente s'accentue et nous redoublons de prudence.
Après avoir passé un rocher mon binôme me signale qu'il aperçoit un autre binôme au bord de la route. Le temps de se mettre d'accord sur la manière de les contourner ils nous engagent. Cette fois c'est moi qui suis passé à coté des tirs. Je me replis derrière un promontoire rocheux au dessus de moi. Le manque d'attention ne pardonne pas, mon pied traverse un morceau de mousse qui dissimulait un trou suffisamment profond pour engloutir toute ma jambe. Une fois cette mésaventure mise de coté nous reprenons notre route. Nous arrivons au point de rendez-vous juste à temps. On se positionne à l’abord du chemin après avoir poser les sacs plus haut. Si le dictateur passe par ici nous sommes prêts. A peine sommes nous installés qu'un binôme passe juste au dessus de nous. Mon camarade est allongé à 1m d'eux dans les fougères et je suis à découvert contre un buisson. Fort heureusement ils passent sans nous remarquer.
Une fois éloignés nous changeons de lieu pour éviter qu'un second groupe nous remarque.
A peine installés nous recevons d'autres coordonnées qui sont la dernière position connue du dictateur.
La dernière ligne droite est en vue, le moral remonte au maximum malgré la fatigue et l'état de nos vêtements. Nous approchons du lieu indiqué et la zone d’où nous souhaitions tirer est trop claire. Nous sommes à deux cents mètres de notre cible en attente du feu vert pour nous approcher.
Nous profitons de ce dernier moment de calme pour observer les environs. Si nous traversons le chemin une plantation de pin assez dense nous permettra d'être à notre avantage.
Le moment est venu, après avoir observer le chemin rien en vue. Nous traversons rapidement et nous enfonçons dans les sous bois. Ne sachant pas ce qui nous attend, nous avançons avec nos sacs le plus prudemment possible. La moindre branche peu nous trahir.
Nous sommes à 50m du carrefour et nous apercevons la cible. Chacun trouve une ouverture à travers les branchages et nous tirons ensemble une première fois. La cible est manquée mais elle n'a rien entendu. Je réarme mon srs et vise une seconde fois. J'ai passé tellement de temps à rêver de ce tir qu'il n'est pas possible d'en rester là. Le second tir touche la lunette de la cible qui s’effondre immédiatement. Ne sachant pas si nous serions pris en chasse nous courrons en sens inverse pour s'éloigner le plus rapidement possible de la zone. Une fois en sécurité nous bifurquons en azimut direct vers la zone d’extraction. Arrivés sur place deux 4x4 nous attend. Le chauffeur nous demande si la cible a bien été abattue et nous fait embarquer à l’intérieur du véhicule.
Nous l'avons fait ! Ce fut une première expérience éprouvante et digne de nos attentes.

Un grand merci à mon binôme qui malgré son entorse à garder un moral d'acier tout le week-end.
Merci beaucoup aux organisateurs pour la mise en scène de cette formidable aventure, c'était la folie !
Pour finir de gros bisous à tous ceux qui nous ont aidés et conseillés en particulier les membres de l'AG72 et de la 72TAC.

Ci-dessous la liste de l'emport:

Matériel pour l'OP :

Transport:
-Sac Patrol 80L avec sur sac intégré.
-Filet de camouflage pour mettre sur le sac parce que la bâche verte qui sert de protection contre la pluie ne semble pas top niveau discrétion.
-Chest PAck Numbat pour ranger le petit matériel dont on a souvent besoin et le matos de topographie.
-Holster DTD pour MK23.
-Un sac en toile pour la nourriture.
-Un sac étanche pour les vêtements.

Pour manger/boire:
-Fourchette cuillère x2.
-Petit réchaud gaz.
-Casserole alu 600ml + couvercle.
-Plat déshydraté x3 (utilisé que deux).
-Muesli déshydraté x2 (Pas utilisé).
-12 Barres de céréales ( prendre plusieurs gouts différents parce qu’au bout du deuxième jour c'est plus un plaisir d'en manger).
-Paille filtrante et pastilles purification d'eau (on en a pas eu besoin).
-Camelback 2L.
-3 bouteilles plastiques transparentes 800ml vide pour récupérer de l'eau sur le chemin sans risquer de contaminer la réserve de départ.

Vêtements:

Sur moi:
-Boonie flecktarn avec quelques modules (feuilles tissus et morceaux de filet).
-Smock flecktarn imperméabilisé.
-Veste de combat flecktarn. Franchement pas utile. Je sais pas à quel moment j'ai réussi à me convaincre qu'à un moment je me baladerai en chemise....
-sous pull coton.
-Pantalon flecktarn avec bretelles. C'est pas très glamour mais c'est tellement pratique (et oui j'aime le flecktarn!).
-Paire guêtres. Indispensable pour moi. Les chaussures même super imperméables prennent l'eau par le dessus sans ça.
-Paire de chaussures de randonnée.
-Sous vêtements (je vous fais grâce des détails).
-Une paire de gants.

En plus dans le sac:
-Deux sous pulls (j'en ai utilisé qu'un seul le samedi soir pour dormir dans du sec).
-3 paires de chaussettes (juste une utilisée) Clairement j'ai eu les pieds humides pratiquement tout le weekend mais avec les chaussettes en laine on n’a pas froid.
-Polaire décath à 10€ pour la nuit et le dimanche.
-1 caleçon (j'ai un peu fait mon gros crade j'avoue. Il est resté dans le sac).
-Paire de gants de rechange (j'aurai aimer l'utiliser mais elle s'est gorgée de flotte durant la nuit...).
Couchage:
-Un sac de couchage 5° confort emballé dans un sac poubelle ( si le duvet prend l'eau c'est la fin de l'aventure).
-Un tapis de sol " grand froid".
-Un tarp de 3m x 4m avec cordes et sardines. Mon camarade à emmener une tente ultra légère mais elle n’a pas tenu.

-Pour la prochaine je prendrai en plus un sur sac étanche pour le sac de couchage (1.2 kg en plus).

Répliques:
-Srs A1 silverback.
-MK23 Marui.
-Makarov ics
-Couteau factice.
-5 chargeurs srs ( 4 de trop, j'ai tiré 2 billes).
-3 chargeurs PA (2 de trop, j'ai tiré 5 ou 6 billes).

Le reste:

-Trousse pharma la vrai et les éléments de manipulation factice (la trousse c'est mon camarade qui la portait)
- Poncho flecktarn. Alors oui c'est étanche mais qu'est ce que ce n’est pas pratique. Je l'ai sorti 30 min.

petit matos

-Lampe frontale.
-piles de rechange.
-Gps de poignet, le 401. La boussole a un peu péter un plomb une fois sur place alors sue le reste du temps elle fonctionne nickel.
-Boussole et carré de rapport de point.
-Scie pliante pour dégager la zone de bivouac. Pour le coup elle a bien servi.
-Briquet tempête.
-stylo Velléda et Bic.
-Rouleau de scotch.
-Couteau pliant pour couper des bricoles.
-Batterie externe avec câble USB 3 et 4 .

Je finis par un élément sans doute le plus important. Un camarade qui tient la route moralement et physiquement. J'ai eu la chance de l'avoir !

Sac plein 15 kg; Chest 1,4kg. Répliques incluses j'étais autour de 20 kg.
On a fait 15 km dans le weekend et on a eu plusieurs fois l’occasion de poser le sac pour de petits déplacements.
Dernière modification par Splatsh le 04 nov. 2020 20:57, modifié 1 fois.

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Panchoa
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Panchoa » 04 nov. 2020 15:20

Sympa le retex, ça fait plaisir à lire ! L'orga a l'air de s'être surpassée pour proposer tout ça !

Par curiosité, quand est-ce que l'OP a eu lieu ? Parce qu'avec les dates initiales et le Covid je croyais que ça avait été annulé comme moult OP cette année.

Splatsh
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Splatsh » 07 nov. 2020 10:07

Oui c'était vraiment sympa! Les orga ont bien ficeler leur histoire et l'ambiance était au rendez vous.

L'OP c'est déroulé le weekend du 03 et 04 octobre 2020.

Splatsh
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Splatsh » 07 nov. 2020 10:45

Quelques images du weekend

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Les premiers moments de l'op. Le transport jusqu’à la zone de départ.

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Nos camarades, le binôme CHARLIE 2 avec qui nous avons fait les premières missions du weekend.

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Durant un trajet à l'arrière du 4x4.

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Rencontre sympathique et inattendu.

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Dernier jour.

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En attente d'un contact.

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Derniere progression avant l'objectif final.

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En attente du feu vert pour progresser sur la cible.

GrowlingBush
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par GrowlingBush » 08 nov. 2020 18:22

Ça a l'air d'avoir était fou comme OP ! Et bien vu la marque du téléphone :wink:

Splatsh
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Splatsh » 12 nov. 2020 20:11

C'était effectivement complétement fou clairement! Une aventure à vivre. Pour la pub du portable c'est pas voulu. je venais juste d'en changer et j'avais pas fait attention a ce détail.

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Fever
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Re: Retour sur le Challenge Concord 2020

Message par Fever » 12 nov. 2020 20:34

Le bois de Concord est un passage obligé (que ce soit par le Challenge ou le Golf) pour tout sniperlandais qui se respecte :lol:
Manukeru a écrit : La push, c'est comme une sécurité enfant. Ça ridiculise ceux qui savent pas s'en servir.
Alumyx a écrit :L'airsoft, c'est comme le sexe, c'est meilleur avec du lubrifiant qu'avec de l'abrasif !
Bowy a écrit :Bowy il fait jamais rien pour avoir qqch en retour.

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