RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Allez papy, raconte nous encore comment tu as decimé l'equipe adverse bille à billes !
benounn V2
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RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par benounn V2 » 20 janv. 2020 12:51

Bonjour à tous,

Voilà ma publication bi-annuelle : Retex plume blanche!


-        Retex plume blanche 2019 Benounn/Komando Phenix  117/Delta Corse
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Mieux vaut tard que jamais…

Plusieurs mois après avoir parcouru les montagnes de Valdeblore voici mon retour sur cette belle édition 2019 : Big JAck
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Un petit préambule tout d’abord,

-        La plume blanche, c’est à ce jour la seule opé qui me fait autant gamberger avant, pendant et après. Je commence à stresser au moment des inscriptions, je balise encore plus lorsque je reçois les ordres de mission et je sais que pendant toutes l’opé je devrai rester concentré sur tout mon environnement pour avoir une chance d’aller au bout. Plusieurs semaines après la magie reste bien présente, et je vais essayer de vous transmettre ma passion pour cette superbe opé que je recommande à tous ceux qui veulent se donner les moyens de réussir. Une précision tout de même, la plume blanche se réussit en se dépassant physiquement, en analysant correctement les ordres de missions, en faisant les choix judicieux et en ayant un peu de chance (qui sourit aux audacieux). Les binômes ne peuvent interagir et s’entraider pour réussir leurs missions, mais si par hasard ils se croisent, ils se respectent, s’encouragent mutuellement et font preuve de réserve et de fair play. Ceux qui viennent en se croyant plus malins que les autres et avec l'état d'esprit que "ce qui n'est pas interdit est autorisé" n’ont pas leur place sur cet événement organisé avec passion par des passionnés pour des passionnés (les organisateurs n'ont rien à prouver).



Vendredi 24 juin 2019 – 20h00

C’est le début tant attendu de cette nouvelle édition de la plume blanche. Nous avons rendez-vous sur un parking pour y rencontrer notre contact «  le belge ». Nous avons fait nos derniers préparatifs dans un endroit isolé et arrivons sur le parking prêt à rentrer dans l’action. Les autres binômes sont déjà là. Nous faisons le tour pour les saluer et attendons l’arrivée du contact. Celui-ci n’arrivant pas nous vérifions discrètement les environs en checkant notamment de façon plus précise la localisation du rendez-vous. Nous remarquons alors un individu se tenant à l’écart et nous nous présentons à lui. Il s’agit d’un contact local qui nous donne quelques infos sur la situation et nous remet une liasse de billets. La discussion n’est pas très longue car il veut rester discret.
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Premier contact

Nous retournons à notre véhicule pour attendre le contact. Celui-ci ne se fait pas attendre. Au lieu d’un homme seul comme nous nous y attendions, c’est tout un convoi de jeep et pick-up qui se présente sur le parking. Le fameux « belge » sort du véhicule de tête et nous demande de monter à bord. Nous devons tout de même négocier notre trajet auprès des pilotes.

Nous en repérons un qui nous doit de l’argent (Cf. une opé au malassoquistan sur laquelle nous nous étions rencontrés) et s’arrangeons avec lui pour monter à l’intérieur du véhicule. Le trajet n’en sera que plus confortable !

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Le convoi arrive 

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Tout le monde essaie de trouver une place à bord d'un véhicule
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Notre chauffeur à bord de son pick-up bas de gamme très couleur locale




Il ne faut pas beaucoup de temps pour que tous les binômes soient à bord des véhicules avec leurs sacs. Le convoi se met alors en route pour un endroit inconnu qui devrait être le fameux labo que nous devons localiser.J’enregistre le tracé GPS du convoi dans ma montre et repère autant que possible les différents éléments du parcours.L’itinéraire par lequel nous arrivons n’est clairement pas pratiquable de nuit car les pentes sont vraiment très raides. Nous passons à coté d’une source que je repère sur ma montre. Au bout d’un bon moment nous arrivons dans une clairière dans laquelle sont garés d’autres véhicules et une tente est montée. S’en suit un accueil chaleureux de nos contacts : Le « belge » mais aussi ses associés un barbu l’air pas commode mais finalement toujours prêt à discuter et un autre, certainement le chef, avec qui nous entamons des négociations. Quelques personnels gardent le camp, mais leur comportement n’est pas très hostile. Cependant on se doute bien qu’avec ce genre d’individus, tout peut basculer d’un instant à l’autre pour un simple soupçon. L’avenir nous donnera raison.Sur une table des boissons fraiches sont à disposition. La plupart des binômes se content d’eau fraiche, ils savent qu’ils devront certainement beaucoup marcher cette nuit. Ce n’est pas le moment de prendre l’apéro. Un paquet de poudre blanche est renversé sur la table. Il nous intrigue car nous devons récupérer un échantillon de la drogue qui est produite par les narcotrafiquants ; renseignement pris il s’agit d’un produit bas de gamme dont nous pouvons nous servir, mais qui est très différent de ce qui est à vendre. Pas la peine donc d’attirer l’attention sur nous en essayant d’en subtiliser.Après nous avoir laissé le temps de nous restaurer (et de nous poser des questions) les narcotrafiquants nous convient à venir visiter leurs installations de production ; Nous pénétrons dans un bunker situé non loin de là. Dès l’entrée des cartons portant des marquages sont amassés ça est là. Ça énerve le belge qui avait demandé plus de confidentialité sur la provenance de la marchandise. Nous entrons dans le bunker qui est composé d’un long couloir avec des alcoves à droite et à gauche. Dans chaque alcoves des piles de cartons sont entassées et ça et là trainent des pochons remplis de poudre. Seb, les remarques en prends un et le dissimule sur lui. De même j’en glisse un dans ma chaussure. La pénombre et le grand nombre de personnes dans cet étroit couloir a permis une récupération discrète des échantillons. Objectif 1 réussi.Nous arrivons alors au fond du bunker et découvrons l’atelier d’emballage. La came nous est présentée à nouveau et nous pouvons poser nos questions. Alors que les discussions sur les conditions d’expédition vont bons trains, à l’arrière du groupe, des cris éclatent ; Il s’agit d’un différend assez sérieux entre le belge et Mr Paul le chef. Le cousin du belge ne serait pas fiable voir même aurait trahit leur confiance. Devant la pression du groupe le belge est obligé de tuer de lui-même son cousin sans autre forme de procès. Cela le plongera dans un état de dépression alcoolique pendant tout le reste de la soirée. Les narcos nous font évacuer le bunker et nous retournons auprès de la grande tente à l’extérieur. Les binômes les plus rapides à transmettre par sms la position du bunker reçoivent les coordonnées de l’endroit où ils doivent se rendre pour livrer les échantillons de drogue. Dès que nous recevons nos instructions nous nous rendons auprès des pilotes de véhicule pour négocier notre trajet vers la ville de notre choix.Malheureusement de nombreux binômes sont plus rapides que nous et il nous faut attendre au moins deux rotations pour pouvoir enfin monter dans le pick-up. Quand nous prenons enfin la route en direction de la colmiane. (si on peut aller jusque là bas en véhicule, il sera facile d’atteindre notre objectif avant 12h00) Rapidement Seb sent que quelque chose va se passer et il m’incite à me tenir prêt à toute éventualité. Effectivement après quelques minutes de trajet le pick-up s’arrête et le chauffeur nous demande de descendre. Il est en communication téléphonique avec quelqu’un et semble énervé. Il nous demande qui on est et qu’est-ce qu’on fait là en nous menaçant avec son arme. Alors qu’il fait mine de vouloir nous abattre. Le passager du pick-up lui tire dessus. Il nous dit qu’il s’occupe du corps et que nous devons partir au plus vite. Nous attrapons nos sacs à l’arrière du pick-up et nous voilà livrés à nous même dans la nuit noire de Valdeblore.



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Première phase de déplacements (nous quittons Saint Dalmas à 23h45)



En participants expérimentés nous comprenons rapidement que nous devons avoir traversé la vallée au plus tôt. 2 possibilités s’offrent à nous : traverser Saint Dalmas ou bien la Colmiane.L’option 1 présente l’avantage de nous mettre plus rapidement en sécurité. En revanche la zone exposée (village et abord de village) est plus importante. L’option 2 c’est l’inverse. Une zone exposée plus restreinte mais difficile à contourner en cas de contrôle. De plus La Colmiane étant plus éloignée que Saint Dalmas, l’heure à laquelle nous aurons passé les difficultés sera plus tardive.Par ailleurs, l’option 1 nous emmènera vers un itinéraire plus long (mais également imaginé plus safe) que l’option 2 plus directe (mais certainement plus contrôlé)Bon marcheurs nous choisissons l’option 1, celle qui nous apparait la plus sécuritaire.Dans la nuit noire nous nous mettons donc en route vers Saint Dalmas, nous gardons dans un premier temps la piste forestière sur laquelle nous avons été « droppés » et dès que possible nous récupérons un GR sur lequel nous progressons tous feux éteints. Arrivé aux abords de Saint Dalmas, nous décidons une approche directe et rapide. Nous sommes toujours en civil et tenterons de ne pas nous faire attraper si nous sommes repérés. Nous traversons le village en évitant les carrefours importants ainsi que la départementale. Nous trouvons des passages pas ou peu éclairés que nous ne détaillerons pas ici ! Le cardio monte bien car la traversée doit être silencieuse et rapide et mine de rien ça grimpe pas mal !Note : nous dépassons 2 binômes dans Saint Dalmas (dont les futurs vainqueurs), nous ne sommes pas les seuls à avoir eu la même idée :)Dès que nous avons atteint la sécurité du vallon de Bramatan nous nous autorisons une pause bien méritée, nous mangeons un peu et revêtons notre tenue de combat. Entendant un binôme approcher nous reprenons notre marche.Maintenant que nous avons atteint ce point, nous devons rejoindre la zone de « haute altitude » que nous savons n’être pas surveillées en journée. Pour cela, il nous faut atteindre le col de Veillos situé à 2200 m d’altitude avant que le jour ne se lève (soit 800m de dénivelé positif).Lentement mais sûrement nous gravissons le sentier, arrivés au niveau du plan de la Gourra, devant nous se dressent deux obstacles : 2 énormes Patous ! Il y a effectivement un troupeau de moutons pâturant de le coin et ils le protègent des intrus. Nous adoptons donc une posture non agressive et contournons le troupeau. Les chiens nous suivent de près mais ne nous empêchent pas de passer. Nous traversons le replat du plan de la Gourra suivis par les chiens et rejoignons la route en contre-haut où nous prenons une nouvelle pause bien méritée. De là nous suivons alors la route jusqu’au point 2000 m. Il est peu probable que des patrouilles montent ici à cette heure, et dans tous les cas nous devrions pouvoir les repérer de loin. (de plus nous sommes déjà bien entamés physiquement et ne pouvons pas envisager de faire des détours supplémentaires)Nous dépassons le col de Veillos et continuons (non sans mal) jusqu’à environ 2300 m d’altitude ou nous prenons un repos bien mérité de quelques heures à l’écart du chemin. Le repos est bref, mais bien utile. Il est 5h00 du matin.

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Levé du jour, reprise de la marche
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Pas après pas, nous prenons de l'altitude 

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Paysages toujours magnifiques



Au réveil  nous découvrons un paysage magnifique, nous mangeons un peu et nous nous remettons en route (à 7h00). Notre point de rendez-vous est un lac situé de l’autre côté de la montagne qui nous surplombe. Nous devons l’avoir atteint avant 12h00. Nous sommes vraiment large car il ne reste que peu de dénivelé positif (l’avantage d’avoir bien marché toute la nuit !




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Le binome en marche


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Vue depuis le point culminant de notre parcours (que nous gravirons 2 fois!)


La montée au col se fait sans encombre, nous atteignons un point de vue sur le lieu de rendez-vous vers 9h00 le matin et profitons d’un beau soleil. Nous observons à la jumelle la zone de rendez-vous. Plusieurs personnes sont présentes des binômes et deux civils : certainement nos contacts.Ayant mal lu l’ordre de mission, nous pensons qu’il faut attendre 12h00 pour rencontrer le contact, alors qu’en fait il faut le rencontrer avant 12h00. Nous patientons donc quelques heures et en profitons pour se reposer, se restaurer et … se délester de quelques paquets ^^ .Un peu avant midi nous nous approchons du contact que nous rencontrons, il s’agit bien de Valdez. La discussion est courte, nous lui donnons les échantillons de drogue que nous avons subtilisés et lui remettons des flacons dans lesquels nous avons fait de premières analyses démontrant la dangerosité de la molécule utilisée. Il nous indique notre zone de tir pour abattre notre cible dont il nous montre une photo. Elle se situe non loin du plan de la Gourra et… des gardiens Patous !






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Mr Paul sera notre cible 



La première partie de la suite de la suite de notre parcours est bien connue, puisque nous venons de la faire ! Nous rebroussons donc chemin sans trop se presser, mais sans non plus trainer ! Nous savons qu’il peut pleuvoir en fin d’après-midi et nous voulons être sûr de ne pas se retrouver dans une zone exposée en cas d’orage.


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Remontée vers le col
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Plan de la zone



Nous repassons donc le col qui donne sur le vallon des Millefonts et avons pour objectif de se rapprocher au maximum du col de Veillos et de notre zone de tir. Aux alentours de 16h00 le tonnerre se fait de plus en plus insistant. L’orage et encore de l’autre coté de la montagne et nous ne savons pas si il viendra sur nous ou pas.




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Etant donné que nous n’avons que peu de choses pour nous protéger de la pluie (vêtements), que nous n’avons pas envie de commencer la nuit en étant mouillé et que nous avons du temps devant nous, nous choisissons encore une fois la sécurité et bifurquons de notre itinéraire pour se rendre vers deux bâtiments abandonnés (2200m d’altitude) auprès desquels nous espérons trouver un abri. La chance est avec nous, puisque quelques minutes après avoir trouvé refuge dans un des bâtiments, la pluie commence à tomber. Nous nous restaurons, et nous installons pour se reposer le temps que l’orage passe. Nous nous félicitons d’avoir fait ce choix et profitons d’un repos bien mérité en pensant aux binômes exposés aux intempéries ! Cet orage éliminera plus certainement certains binômes que ne le feront les patrouilleurs !



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Quelques courants d'air, mais pas une goutte d'eau dans cet abri!


Une fois la pluie passée nous reprenons notre approche.Nous traversons la route d’accès au vallon des millefonts sans trop d’encombre et rejoignons un sentier qui nous permettra d’arriver très près de notre zone de tir. Il fait encore jour et réfléchissons à l’itinéraire d’extraction.Deux options principales sont étudiées : la première consiste à descendre coté Saint Dalmas, mais cet itinéraire semble assez exposé. L’option 2 consiste à repartir par les GR et à redescendre dans la vallée en passant par « la roche ». Cela nous oblige à remonter après le tir et l’itinéraire est donc bien plus long. Profitant que le soleil ne soit pas couché je fais le repérage d’un itinéraire 2 bis. Descendre le court d’un ruisseau qui permettrait un accès plus court sur « la roche ». Malheureusement cet itinéraire s’avère trop exposé et sans matériel il n’est pas raisonnable de l’emprunter.




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Il faut se rendre à l'évidence... ça passera pas par là!




A la nuit tombée nous allons repérer notre poste de tir, un camp a été installé aux alentours du plan de la Gourra et il faut se montrer vigilant. Des véhicules vont et viennent le long de la route, et le camps semble occuper par de nombreux personnels.



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La nuit tombe! L'heure de la vérité approche




Une fois notre zone de tir clairement identifiée et notre plan d’action établi nous revenons sur nos pas pour trouver un endroit plat où nous pourrons nous allonger pour la nuit.La nuit se passe sans problème, elle est fraiche d’autant que nous avons pris le minimum pour nous couvrir ! Un binôme passe auprès de nous pour rejoindre son poste de tir également (heracles). Le moment fatidique approche et la tension monte de plus en plus. Tous les efforts consentis jusqu’à présent l’ont été pour vivre cet instant. Lors de la constitution de notre binôme nous n’avons pas décidé qui serait le tireur et avons donc chacun une réplique permettant de réaliser le tir. La cible sera à l’arrière d’un véhicule de type jeep. Le pilote qui est un allié devrait ralentir au niveau de la zone de tir indiquée.




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Tests de tirs


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La cible arrivera par la droite, le couloir de tir est dégagé 





  Une fois sur la zone de tir, nous finalisons notre installation. Nous décidons d’engager la cible dans le dos. Cette option nous permet de garantir plus facilement de ne pas être détectés par le véhicule. Un tireur sera allongé à une distance de 20 m de la route avec un couloir de tir très restreint. Le spotteur aura un visuel sur la route, annoncera l’arrivée du véhicule et confirmera l’identification de la cible. Nous faisons chacun quelques tests de tir. Tandis que ma réplique est fiable à cette distance, celle de mon binôme montre quelques misfeed et imprécisions. Je prends donc la responsabilité du tir et me mets en position.L’heure fatidique approche, plus que quelques courtes minutes avant l’arrivée de l’objectif. Soudain, je vois apparaitre dans ma lunette… Un patou ! Nous sommes  effectivement non loin du troupeau de la veille et ces fidèles gardiens ont bien noté une activité inhabituelle. (On entend d’ailleurs au loin le berger appeler ses chiens « Mais qu’est-ce que vous faites aujourd’hui les chiens ! » le pauvre diable ne peut pas savoir que ses chiens sont allés lever les binômes d’un challenge de sniper ! Braves bêtes !) Je me retrouve tout de même avec un patou pile dans mon axe de tir (et un autre dans mon dos) à quelques instants d’un tir sur véhicule en mouvement…Les chiens finissent par s’éloigner tandis que mon binôme m’annonce l’arrivée de la cible. La solution de tir que j’ai choisie est très bonne sur le papier, mais l’étroitesse de mon couloir de tir et la vitesse du véhicule ne me laisse que très peu de temps pour tirer.Je tire donc dans la précipitation et ne fait que toucher le véhicule qui accélère et s’éloigne rapidement hors de portée. Je double le tir, mais sans succès. J’annonce alors le résultat prévisible du tir à mon binôme et nous commençons immédiatement notre extraction via le chemin le plus direct. Redescente vers Saint Dalmas.Au bout d’une dizaine de minutes, nous recevons un appel de l’orga nous confirmant l’échec du tir. Et nous demandons si les chiens ont gêné notre tir. Nous confirmons que nous n’avons pas été gênés. Il nous est alors proposé une évacuation en véhicule que nous acceptons. FINEX pour le binôme Komando Phenix / Delta Corse




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Les gardiens du troupeau


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Les traqueurs (et au milieu le binôme victorieux)

Voilà une 3ème édition pour ma part, encore bien différente des précédentes. La première phase d’immersion était vraiment très réussie (mention spéciales aux acteurs qui ont été vraiment à la hauteur !) et la négo avec les pilotes permettait vraiment de prendre de l’avance sur les autres binômes (on n’a d’ailleurs pas été très bons là-dessus). L’organisation a du faire avec le peu de personnel disponible. Cela s’est ressenti un peu sur le peu de rencontres que nous avons eu sur nos déplacements. Cela n’en reste pas moins une édition réussie avec suffisamment de temps laissé pour organiser ses déplacements en toute sécurité. Au final 4 binômes sur 10 ont atteint leurs zones de tir : Nous ratons notre tir et sommes évacués. 1 binôme a raté son tir et réussi son extraction ; 1 binôme a mal identifié la cible et n’a pas tiré (évacué avec nous) ; 1 binôme a réussi son tir et réussi son extraction. Ils gagnent ainsi la plume blanche. Les retex des autres binômes sont disponibles sur le forum de BSO Games.
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MarcQC
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Re: RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par MarcQC » 20 janv. 2020 15:38

Vraiment cool comme immersion et tu as bien écrit, merci du partage

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Ariegeboy
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Re: RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par Ariegeboy » 20 janv. 2020 20:15

Excellent, ça semblait être une grande édition !

Félicitation pour votre parcours !
#Bagarre&Saucifflard

benounn V2
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Re: RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par benounn V2 » 31 janv. 2020 11:35

Merci!
Je vous recommande de tenter l'aventure!
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PKSO
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Re: RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par PKSO » 31 janv. 2020 12:56

Wow! Genial! Merci d'avoir partager avec nous!

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Perniflard
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Re: RETEX : Plume blanche 2019 - Komando Phenix / Delta corse

Message par Perniflard » 25 févr. 2020 17:58

Elle est magique ton expérience

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