C’est comme ça que tout devait se passer …

Allez papy, raconte nous encore comment tu as decimé l'equipe adverse bille à billes !
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Phen
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C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Phen » 05 déc. 2010 1:41

C’est comme ça que tout devait se passer …
La voiture repart me laissant seul sur le bord d’une départementale. Je me repère vite, et m’engage dans un chemin en pente forte qui s’enfonce dans la forêt.
Je m’agenouille dans la neige et prends le temps d’évaluer la position probable des mes équipiers. Nous avons été déposés séparément sur une route de campagne pour éviter d’attirer l’attention des hostiles locaux. Normalement, j’ai sauté en dernier, mes compagnons doivent donc être au sud de ma position. Je lève les yeux pour prendre la mesure de l’environnement.

Il fait -10°, et je suis déjà dans 10 centimètres de poudreuse. Pourtant mon altimètre indique à peine plus de 500 mètres. Mais ces derniers jours ont été riches en précipitation. Il est 18h, mais dans le sous bois la nuit est d’encre. Seule la couche blanchâtre au sol renvoi un peu de lumière vers mes pupilles encore parasitées par le trajet en voiture.

Je suis Vert pour la mission et nous avons convenu avec Jaune et Rouge de nous retrouver au sommet de la crête, 400 mètres plus haut pour faire le point et décider de l’approche de notre objectif : une station météo qui d’après la chaîne de commandement sert de couverture pour des radars ennemis.
J’ai au moins une heure de marche seul, et je suis le plus loin du rendez-vous, j’y vais.

L’orientation est difficile dans la forêt, la neige masque totalement le chemin que j’emprunte et je ne le suis que grâce à ses bords légèrement surélevés. C’est aussi sur le chemin que la neige est moins dense. Je progresse assez lentement, sous le poids inhabituel qui pèse sur elles, les branches se plient jusqu’au sol, masquant parfois le chemin, m’obligeant à contourner par les bas côté et m’enfonçant dans une végétation dense, masquée par le manteau blanc.
J’ai récupéré la ligne de crête, et la lumière d’un énorme édifice plusieurs kilomètres plus loin dans la vallée sur ma gauche me permet de garder un cap hasardeux parmi les arbres. C’est finalement 1h30 plus tard que je rejoins notre point de rendez-vous à 150 mètres du radar. Je siffle, signale convenu par notre équipe, et la silhouette de jaune s’ébroue à quelques dizaines de mètres de moi. Je prends place face à lui, sécurisant le chemin par la même occasion dans l’attente de rouge. Celui-ci arrive sans encombre 10 minutes plus tard.

Nous nous regroupons à l’écart du chemin pour consulter la carte et vérifier une dernière fois la procédure d’approche convenue au briefing. Accroupi en cercle je déplie ma bâche et la rabat sur notre trio, alors que jaune allume sa frontale, le faisceau atténué par un filtre rouge afin de ne pas abimer notre vision nocturne.

Le radar est quelques mètres plus bas de notre position au sud ouest. Nous approcherons par le nord, suspectant le sud mieux gardé étant donné que le chemin carrossable d’accès est plein sud.
Je dois vérifier sous couvert de la ghillie que nous avons un axe d’approche sûr tout en restant invisible des potentiels ennemis. Je quitte mon sac à dos et sort donc ma ghillie light, un filet et de la jute, accessoirisé d’une fermeture éclair. J’enfile celle-ci rapidement, enfile mon boonie, attache ma RRV et replie ma bâche. Je sors le L96 du sac. Nous sommes prêts.

L’approche est laborieuse, la neige est profonde et traître, recouvrant des rondins rendus glissants. J’ai l’impression que nous faisons un barouf du diable mais rien ne laisse suggéré que nous aillons éveillé des soupçons. La haute silhouette de la tour se découpe dans la blancheur de la neige alors que nous approchons de la lisière du bois.

La structure plus de 40 mètres est protégée via son accès principal par du grillage, enchâssé dans une petite guérite éteinte. De la guérite jaillit un double portail bloquant le chemin d’accès à la route forestière qui rejoins la départementale quelques trois kilomètres plus loin. Deux hommes armés discutent devant les portes entrebâillées de la bouche métallique.

Nous nous rapprochons maintenant avec une extrême précaution, pour nous retrouver à 50 mètres environ à l’arrière de la structure. Un des deux hommes allume une cigarette alors que l’autre rigole bruyamment.
Mes deux compagnons s’éloignent sur ma droite, pour se poster 10 mètres plus prêt légèrement en hauteur sur un talus. Leurs contours déjà discrets dans un déplacement accroupi s’estompent alors qu’ils s’allongent en position de tir. De leur poste, ils vont abattre l’amateur de blague, puis sécuriser le portail, pendant que je dois toucher l’homme à la cigarette et placer la charge à la base du pylône.

Je reste accroupi profitant du couvert de la ghillie pour ne pas avoir à m’allonger dans une neige qui sans aucun doute aurait alourdie ma jute d’un poids certain. Je prends ma visée pour évaluer la situation. Une indication sortie de secours dans la guérite projette assez de lumière pour iriser les contours de l’homme à la cigarette. Il est maintenant de profil, la clope au bec, quasiment terminée. Un léger vent de côté. Je décale d’un dot. Sa main monte vers sa bouche. Il récupère la cigarette et la projette de l’index alors que mon propre index enfonce la détente. Le bruit mat de l’impact et le sursaut de surprise confirme la touche, il s’effondre dans la neige sale du chemin, alors que deux doublettes se font entendre sur ma droite, mes compagnons fauchant l’autre protagoniste de dos.

Je prends mon fusil d’une main et me précipite vers le pylône. De ma poche je sors mes explosifs, un pétard de fête qui devrait faire l’affaire. Je fais signe à mes comparses, qui sortent de leur retraite et se dirige vers le portail. Mon briquet semble récalcitrant à vouloir fonctionner mais se décide à m’éblouir d’une belle flamme bleutée. La mèche crépite à peine que je détale à mon tour vers le portail.

Nous avons franchit celui-ci de quelques mètres quand un beau « bang » sonore fais vibrer la vallée.
Le PC est contacté, et une voiture nous attend sur la route plus bas pour nous sortir de là avant les renforts. Nous avalons les trois kilomètres au pas de course avant d’apercevoir enfin la bande noire d’asphalte traversant la zone boisée. Une voiture est allumée feu éteints à l’entrée de notre chemin.
Nous bourrons tant bien que mal nos personnes et sacs dans la citadine avant de faire signe au chauffeur de démarrer. Nous tournons au premier virage lorsqu’un moteur vrombit derrière nous et des feux éclairent notre dernière position alors que nous disparaissons dans la nuit.

Mais c’est comme çà que cela s’est passé :
La voiture repart me laissant seul sur le bord d’une départementale. Je me repère vite, et m’engage dans un chemin en pente forte qui s’enfonce dans la forêt.
Je m’agenouille dans la neige et prends le temps d’évaluer la position probable des mes équipiers. Nous avons été déposés séparément sur une route de campagne pour éviter d’attirer l’attention des hostiles locaux. Normalement, j’ai sauté en dernier, mes compagnons doivent donc être au sud de ma position. Je lève les yeux pour prendre la mesure de l’environnement.

Il fait -10°, et je suis déjà dans 10 centimètres de poudreuse. Pourtant mon altimètre indique à peine plus de 500 mètres. Mais ces derniers jours ont été riches en précipitation. Il est 18h, mais dans le sous bois la nuit est d’encre. Seule la couche blanchâtre au sol renvoi un peu de lumière vers mes pupilles encore parasitées par le trajet en voiture.

Je suis Vert pour la mission et nous avons convenu avec Jaune et Rouge de nous retrouver au sommet de la crête, 400 mètres plus haut pour faire le point et décider de l’approche de notre objectif : une station météo qui d’après la chaîne de commandement sert de couverture pour des radars ennemis.
J’ai au moins une heure de marche seul, et je suis le plus loin du rendez-vous, j’y vais.

Ma carte ign, seule infos datées remisent par le pc, m’est une compagne précieuse dans ce sous bois inconnu. Je m’arrête souvent, vérifiant position et trajectoire pour ne pas me perdre, les chemins étant invisibles sous la neige. En suivant les dénivellations et le léger plat du chemin je progresse de presque 500 mètres assez rapidement. Débouchant dans une immense clairière je profite de la meilleure luminosité pour me détendre un peu. J’avance encore lorsqu’il faut me rendre à l’évidence, soit le sentier que je suis censé suivre n’existe plus, soit je l’ai perdu. Pourtant je suis dans la bonne direction à quelques degrés près. J’essaye bien de pousser un peu au nord mais je me retrouve rapidement avec de la neige jusqu’aux genoux, dans laquelle je m’enfonce aisément aidé par 30 kilos de matériel sur le dos.

La radio de répond pas. D’après mes estimations, mes amis sont forcément au sud de ma position, je m’engage donc dans la clairière essayant de ne pas trop descendre et tirant plus sud. Une plantation de jeunes épicéas, parasitée de ronces, bloque mon avance périlleuse quelques centaines de mètres plus loin. Je souffle un bon coup et tente de joindre à nouveau quelqu’un à la radio.

Un crépitement inaudible me rassure et confirme mon rapprochement d’un équipier. Plus confiant je force la cadence, manquant plusieurs fois de me retrouver au sol. C’est en rejoignant un chemin marqué de trace de pneus que j’arrive enfin à joindre distinctement jaune. Il a emprunté ce chemin il y a environ 10 minutes et est donc encore devant moi. Lui demandant de m’attendre à un carrefour remarquable plus loin, je reprends mon avance.

Le chemin se transforme en pseudo route défoncée alors que se découpe une habitation légèrement plus loin. Je m’en approche en silence et décide de longer le mur d’enceinte, son pourtour ayant été déneigé par les propriétaires. Je dois progresser d’environ 100 mètres et m’engage, rasant le mur.

J’ai fait environ la moitié du chemin quand je visualise le proche de l’entrée qu’il va me falloir franchir. Je jette un œil au coin de celui-ci pour voir un salon éclairé assez faiblement, les flashs bleus d’une télévision confirmant une présence humain relativement inactive. De l’autre côté du mur je dicerne une fenêtre donnant sur une autre pièce éteinte. Je fais deux pas devant le porche et me fige, paralysé en entendant un tintement métallique. Je reconnaitrais ce son entre mille, c’est celui d’une chaine de chien. Je me tourne lentement, pour voir un braque français assis sur son séant à trois mètres de moi, grognant sourdement. Il était probablement allongé dans la pénombre, sans que je puisse le voir. Ma main saisi instinctivement mon couteau pendu à ma ceinture, avant que mon cerveau ne se rende à l’évidence, je ne vais pas tuer un chien ! Je recule d’un pas, il avance d’un pas et lance un aboiement. Je m’arrête. Je recule d’un pas, il avance d’un pas et lance un aboiement. Je m’arrête. Je recule d’un pas, il avance d’un pas et lance un aboiement. Je m’arrête. Le manège aurait pu durer un moment, sauf que la pièce jusque là plongée dans la pénombre vient de s’allumée, c’est une cuisine et une silhouette se dirige vers la fenêtre. Plus le temps de réfléchir, je me retourne brusquement et détale, poursuivi par le son des aboiements du chien et du « chling » de la chaîne arrivée à sa portée maximal. Je franchis l’angle de la maison et me jette dans la neige parmi quelques maigres feuillu à l’écoute d’une voix féminine qui réprimande son chien pour des aboiements inutiles. J’ai eu chaud.

C’est le cœur qui bat la chamade que je rejoins jaune quelques centaines de mètres plus loin, profondément dans les bois. Soulagé de m'être sorti de la mouise nous prenons un instant pour boire et regarder ensemble la carte. Soudain, mon téléphone vibre, c’est mauvais signe, nous l’avons sur nous que pour les urgences.

A l'autre bout, et après 2 coupures, rouge m’explique qu’il a perdu sa carte il y a presque une heure et qu’il a continué dans les bois à l’instinct dans l’espoir d’atteindre le point de rendez-vous. Bien sûr il est maintenu complètement perdu, et nous allons devoir le retrouver. Quelques explications imprécises nous permettent de juger de sa position, mais rien n’est sûr. Il nous reste encore plusieurs heures pour la mission, nous allons quand même essayer de le retrouver. Il s’agit d’économiser au maximum le téléphone, les températures négatives ayant tôt fait de sucer les réserves de nos batteries.
Le PC nous donne le go pour retrouver notre équiper, et nous nous mettons en route. Il est presque 20 heures, et honnêtement, nous n’y voyons rien. La forêt est extrême dense, même le ciel nous est invisible sous la frondaison d’épicéa. Malgré le risque d’être vu nous décidons d’allumer nos frontales, profitant du filtre rouge pour ne pas perdre notre vision nocturne.

Notre chemin jusque là assez net disparait dans une coupe et nous devons plusieurs fois réétudier notre itinéraire. A deux fois nous ne sommes pas où nous pensions être, et c’est avec presque trente minutes de retard que nous atteignons le point où se trouve Rouge.
Bien sûr, il n’y est pas. Il se croyait sur la crête alors qu’il est probablement encore dans la montée, ses sens trompés par la nuit et la neige. Il a un peu bougé et nous envisageons un nouveau point de rendez-vous possible. A ce moment là le pc nous contacte pour nous dire que les routes sont impraticables. Un local devait nous retrouver vers le radar pour plus d’informations mais ne pourra s’y rendre…super. Nous sommes face à un dilemme, nous avons rejoins la ligne de crête et le radar est à l’ouest. Par contre la position supposée de notre équipier à l’est. Nous en informons le pc, et il nous confirme la priorité de réunir l’équipe. Après la fastidieuse montée que nous venons de faire, c’est en trainant les pieds que nous entamons de redescendre.

Nous avançons chahutés sur un terrain piège, où de grosses pierres se dérobent sous nos pieds, alors que nous pensions le tout relativement plat, impression faussée par le manteau neigeux. Il est bientôt 21h, et nous arrivons en trombe sur le point de rendez-vous. Désert. Alors que Jaune informe le PC, j’appelle Rouge pour lui dire de retourner sur ses pas, à son point de largage, en suivant ses traces. Jaune m’interpelle, le PC annule la mission, l’extraction étant prévue avant 23h, l’Etat Major estime que nous ne pourrons réussir, en repartant du début.

Très bien il nous reste à rentrer. Boire un peu pour se redonner le moral ? Non le camel bak est gelé. Et bien nous nous mettons en route, en suivant des traces probablement laissées par des promeneurs de l’après midi. Nous progressons bon train, discutant des péripéties de la mission. Mais quelques choses ne va pas, nous allons plein nord, alors que le point d’exfiltration est sud est. Qu’importe un hameau est visible au loin, il nous donnera notre position. Qui dit hameau dit bien sûr chiens. Qui ne manquent pas d’aboyer alors que nous sommes encore à 200 mètres de la première maison. Laquelle s’éclaire de mille feux à notre approche pour couronner le tout ! Nous passons au pas de course dans le faisceau de lumière non sans remarquer la silhouette qui observe derrière sa porte d’entrée. Ce coup là, nous avons du être repéré. Nous atteignons l’entrée du hameau, dont le nom ne nous encourage pas : nous avons dévié de 1,5km au nord, et allons devoir emprunter la départementale pour atteindre le point d’extraction. A peine engagé sur celle-ci, il nous faut prendre notre petite dose de ronces habituelle car des phares illuminent la sortie du village. Nous nous précipitons donc dans le bas côté, à plat ventre dans la neige, relevée de quelques épines, non sans oublier de saluer le cheval qui nous observe à quelques mètres.

Une fois extirpé nous trottinons sur la route verglacée et atteignons sans encombre le point d’extraction. Je ferme la porte du véhicule sous les sermons du PC, mais malgré tout bien content de cette sortie qui nous aura permis de faire face à beaucoup de nouveaux challenges.
Dernière modification par Phen le 05 déc. 2010 1:50, modifié 3 fois.
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Phen » 05 déc. 2010 1:43

Parce que je veux aussi vous faire profiter des moments de galère, voilà le retour de notre dernière mission.

Il faut surtout en tirer que c'était notre première neige de la saison et que nous avons malgré tout bien progressé. Bref c'est toujours un bon moment !
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par blackangel » 05 déc. 2010 2:36

Que d'aventure,...
jolie passage que celui du chien :D
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Merci d'avance pour votre aide :)
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Rosen » 05 déc. 2010 9:33

Je me demande un truc, les gens des maisons que vous croisez ne sont pas au courant de ce qui se passe ?

Bon sinon je vous tire mon chapeau, parce que meme en pleine journée avec quinze epaisseur de pull je tiens pas une heure par ce froid, les gars vous avez du courage !
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Renan » 05 déc. 2010 10:04

T'as eu du bol que ce ne soit pas un vraie chien de garde... Tu aurais sans doute passé quelques heures allongé par terre a attendre que ses propriétaire vienne te libérer =3

Je me suis bien poilé a la lecture de ce compte rendu =x
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Oep » 05 déc. 2010 12:58

Encore une fois, bravo. Ca doit être encore plus énorme sous la neige, bien que plus dangereux et contraignant comme tu l'expliques. C’est une bonne chose que tu nous montres un échec, ça démystifie un peu le truc.

J'ai encore plus envie de faire un truc pareil moi...
Ares DSR-1 - Sniperland Scope v.2 #26 - canon PDI 6.01*500mm
Well MB01 - crosse en hêtre - canon Madbull 6.03*363mm - bloc hop-up PDI - joint Guarder - guide ressort & piston en alu
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par dark_hadès » 05 déc. 2010 20:49

On ne maîtrise pas toutes les données, la preuve. Néanmoins, ton récit montre l'importance de rester calme... Perdre sa carte, avec la neige, c'est très vite dangereux. A quand la prochaine sortie? Ce sera l'occasion de faire péter cette station radar....

Pour le braque, j'aurais paniqué, les chiens ça me fait peur, alors un braque, et en plus à l'attache...
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Dogi » 06 déc. 2010 3:02

Jolie feedback !

C'est parfois en "jouant" des situation réellement imprévue que les choses deviennent intéressante !

Surtout dans un environnement plus difficile qu'à l'accoutumé.

Dogi
JG BAR10 - Trigger box PDI - Kit Cylindre Palsonite HD PDI - Inner Barrel 6,01mm PDI
Bloc Hop-up d'origine - Bucking Nineball

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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par gtlulu » 06 déc. 2010 9:07

jolie recit encore une fois.
La situation du chien est tendu et ta du bien avoir peur
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Frostcore
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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Frostcore » 03 févr. 2011 10:12

Waouw ! Encore une fois, merci de m'avoir fait frissonner ! :)
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Ghillie 3D Milgrade.
Bar10 full Laylax/PDI !
Membre du GPBL Dunkerque.

Vu sur FA:
marque swiss arms model SA1 bolt. il ne s'agit pas d'un cheap chinois tel qu'un bar 10 donc meilleur qualité de tous les composant d'origine

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Re: C’est comme ça que tout devait se passer …

Message par Phen » 04 févr. 2011 10:40

De rien, je referais quelques retex à l'occasion !
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