Run buddy run

Allez papy, raconte nous encore comment tu as decimé l'equipe adverse bille à billes !
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Panda
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Run buddy run

Message par Panda » 13 nov. 2012 23:15

Bonjour à tous, j'avais commencé à écrire ça quand j'ai vu que Renan avait eu l'idée de s'adonner au même type d'exercice avant d'avoir pu finir le miens, je pense que quand on est rôliste on ne se refait pas hein! Donc bah moi aussi j'ai essayé de faire le petit retex de notre partie en mode rp. Ca peut paraître un peu pompeux et prétentieux dans sa formulation peut être (toujours peur de passer pour un jme la pète) Mais de notre point de vue c'était tellement épique que j'ai essayé de retranscrire tout ça avec l'état d'esprit dans lequel on a abordé la chose.
ps : la majeur parties des photos corrects sont des photo recupérée a droite a gauche, celle que j'ai prise avec mon tel en fin de journée sont trop pourries pour voir quoi que ça soit


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Un vent glacial soufflait entre les vitres brisées de ce complexe de bâtiments abandonnés au beau milieu de la ville. Les squelettes d’entrepôts semblaient gémir sous la caresse cruelle de la bise. Cruelle elle l'était aussi pour les combattants présent en ce jour, mordant impitoyablement les chaires exposées sans se soucier des grimaces de ses victimes. Empêchant tout un chacun de vraiment se détendre, de plaisanter autant qu'ils auraient put le faire sinon, sans ce souffle froid, qui semblait se poser sur toutes les épaules pour rappeler à tous ce qui allait suivre.
Des deux côtés de l'arène on se serrait, on battait du pied dans l'espoir de se réchauffer, immobile dans le vent , attendant presque avec impatience le début des hostilités dans l'espoir absurde de pouvoir se réchauffer en bougeant ou mieux encore atteindre l'un des bâtiment qui offriraient un couvert relatif aux assauts conjoint des opposants et du vent qui ne cessait de tarauder les silhouette dans la lumière morne de cet après midi d'automne.

Pour le moment, rien ne bougeait comme suspendu, seul les gémissements du métal grinçant dans le froid troublait de temps à autre le silence. La poussière sur le sol, encore vierge de toutes trace de pas ne se mouvait que faiblement agitée par les souffles d'air pénétrant les hangars désaffectés à moitié rongés par une nature qui entendait reprendre petit à petit ses droits sur l'endroit depuis trop longtemps abandonné de l'homme.

Immobile, stoïque malgré le froid et le vent qui agitaient les fibres de leurs ghillies, le binôme attendait, sans bouger un seul muscle, se fondant dans la masse touffue d'un buisson que tout commence. Leur présence n'était visible que par les nuages produit par leur souffle un court instant avant de disparaître, emporter par un courant d'air.
Levant les yeux vers les nuages lourds et gris qui étendaient leur couverture paresseuse sur la zone le sniper fronça les sourcils. Lui et son spotter ne savaient pas très bien dans quoi on les avaient jetés...une seule chose était sure, cela ne s'annonçait pas des plus faciles...Mais ça, il aurait pu s'en douter au départ.
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Tout avait commencé comme tout commence toujours, rien de particulier, la routine, vérification des chargeurs, nettoyage consciencieux des lentilles de la lunettes du fusil, des lunettes de protections, vérification des outils de communication équipement, rien que de très banal, cela devait se passer tranquillement, une simple mission d'escorte en somme. On laissait le fer de lance de la troupe se jeter à l'assaut et on s'articulait autour pour le couvrir et descendre les petits malins qui auraient pu avoir l'envie de contourner d'un côté ou de l'autre. Et cela aurait du se passer comme ça...normalement.

« Hey, les Ghillies là ! V'nez voir un peu par ici ! »

Le binôme releva la tête dans un même mouvement pour jauger l'interlocuteur. Taille moyenne, cheveux brun, type caucasien, un homme lambda en somme si ça n'était le pantalon A-TAC et le gilet fluorescent qu'il arborait. Quelqu'un d'important sans doute. Pour autant, ça n'était pas cela qui allait les empêcher de continuer leur Check-up de départ.

« Hey, les Ghillies ! Recommença l'homme avec un ton un peu plus pressant. Vous êtes prêts ? 
-Presque »

Aussi soudaine que laconique la réponse du spotter ne manqua pas de décontenancé un court instant leur interlocuteur qui se repris très vites.

« Ouais, bah grouillez vous, on vous déploie derrière les lignes ennemies, vous devez y être avant eux, et s'agit pas de traîner en chemin, si vous vous faites chopper c'est finis pour vous. »

Déployer derrière les lignes adverses, rien que ça. Pire encore, le binôme ne disposait d'une intervalle de temps de tout au plus 10 minutes entre sa sortie du camps et le déferlement des troupes sur sa position. Ils auraient put refuser, ils auraient sans doute dû d'ailleurs, mais sur le moment la perspective ne leur semblait pas si négative. Et puis c'était « une mission qu'on ne peux confier qu'a des snipers. »...Quand on est pris par les sentiments, c'est difficile de réfléchir.
C'est ainsi qu'après un bref :

« Sur ce coup là, vous êtes tout seul ! »

Le binôme s'enfonça dans les méandres de passage et de hangars pour rejoindre sa position de déploiement.
L'étrange mélancolie du lieux gagnait peu à peu les deux hommes qui cheminaient en silence, marquant le sol d'empreinte éphémère qui disparaissaient presque aussitôt. Autour d'eux des milliers de bruits : le craquement d'une brindille foulées du pied, un jurons du soldat qui s'est pris la cheville dans une ronce, le rire gras du soudard venant de terminer sa dernière blague graveleuse, le cliquetis des armes pendant et cognant les chargeurs...Pas de doutes possible, ils avançaient aux milieu du contingent adverse qui lui ne se doutait pas de leur présence. D'un geste le spotter intima à son équipier de se mettre à couvert et d'attendre. Le temps pour l'arrière garde de jeter d'inspecter rapidement le bâtiment qui béait derrière leur petite armées. Quoiqu'ils espéraient trouver, ils furent bredouille et se hâtèrent de rejoindre le gros de leur force sans doutes angoissés de se retrouver en si petit nombre dans cet étrange sanctuaire de l'immobilité et du silence.



Une longue minute passa, et puis une autre, suivie de trois autres encore avant que le binôme ne se relève pour reprendre sa route, choisissant de suivre une crête qui surplombait la cuvette où l'ennemie avait établis son camps de base. Opération risquées certes mais jugées sur le moment largement possible du fait de l'abondance de buisson résineux qui en couraient tout au long de l'accès. Les deux tireurs devaient tout de même faire profil bas et marcher le plus bas possible au raz du sol pour ne pas se faire voir. Progressant lentement, à une allure régulière et sans saccade, profitant du bruit de la voie de chemin de fer qui déchirait le silence dans un hurlement de métal strident pour passer là où les ronces et les branches rendaient la progression silencieuse impossible.

Par deux fois ils sentirent sur leurs nuques le regard de l'ennemie qui balayait son champs de vision pour s'occuper et par deux fois ils sentirent leurs muscles se cramper petit à petit sous le stress et l'immobilité totale.

Un signe de son spotter, tira le sniper de sa contemplation des nuages. Son coéquipier lui faisait signe d'écouter. Tendant l'oreille il entendit avant de le voir du mouvement juste de l'autre côté de leur abris végétal. L'ennemie se déployait maintenant tout autour d'eux sans avoir conscience de leur présence. Aussi immobile que deux pierres, scrutant les mouvements avec appréhension, prêt à tirer en cas d'agression ils attendaient que la menace s'écarte d'eux. A deux contre 9 il n'avait aucune chance. Par un heureux fruit du hasard seul une petite escouade avaient décider de passer par l'extérieur de la zone d'opération aussi n'eurent ils pas a subir l'examen de leur massif buisson par toute l'armée d'en face.
Il fallait bien avouer que leur couvert n'était pas des meilleurs, un large crêtes dotées d'herbe rêche et plus que rare, quelque résineux et au milieu de rien, un gigantesque massif. Risqué mais c'était la seul option valable pour au moment de leur arrivée. Continuer plus avant aurait été une mise en danger inutile et rebrousser chemin signait leur arrêt de mort.

Une fois l'escouade passée ils durent laisser passer un des assaillant s'étant éloigné du groupe pour satisfaire des besoins naturels, la tentation de le shooter au retour était au moins aussi grande que la peur qu'ils avaient de le voir se retourner vers eux et les apercevoir dans le buisson. Par chance, il s'en retourna comme il était venu et parti rejoindre son escouade qui avançait doucement dans les bâtisse en ruine.
Se glissant hors de leur abris et rampant doucement masqués par les herbes hautes les deux tireurs se frayaient un chemin dans le dos des ennemies tenaillaient par la peur que l'un deux se retourne et aperçoivent un mouvement dans l'herbe qu'il jugerai suspect.

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Le spotter se coula derrière un buisson touffu au moment ou l'un des ennemies revenait de patrouille vers son camps de base. Le temps se suspendit un cour instant, ou le sniper se retrouva allongé, séparer de l'ennemie par un simple rideau d'herbe rachitique et 150cm . Osant à peine respirer, encore moins bouger pour regarder la menace le moment entre l'arrivée de l'hostile et son passage parût durer une éternité au sniper immobile qui se jeta à couvert à peine la menace envolée.
Ils progressèrent jusqu'à une maison en ruine et s'y engouffrèrent profitant d'une vue imprenable sur la cuvette grouillante d'hostile.

Après un répit de courte durée qu'ils s'octroyèrent, la découverte d'une porte menant vers l'intérieur de ce qui ressemblait à un bras de forêt les poussa à s'y engouffrer, tout en dérangeant au passage une bête inconnue qui les gratifia d'un magistral « SQWKIIIIK » qui contraignit le binôme à s'immobiliser les yeux écarquillés en se demandant ce que cela pouvait bien être. Il faut croire que la réponse à cette question demeurera pour longtemps encore une grande énigme de l'airsoft. Les hypothèse les plus certaine penchent pour un rat mutant croisé avec une chouette. Et ceux malgré qu'officiellement on ne soit sûr de rien.

Ce bruit bien que très étrange n'arrêta pas notre courageux , déterminés, sentant le sable chaud, totalement métal binôme, même s'il sembla aux vues des événements suivant qu'il venait de les plonger dans la 5eme dimension de l’absurdement épique.

Débouchant dans un petit bras de forêt bien caché des regards indiscret des tireurs de la plaine, sniper comme spotter cheminaient donc d'un pas allègre sans se soucier de faire crisser les ronces et craquer les branches (qu'ils avaient par endroit jusqu'aux genoux.). Loin de la végétation chiche et rachitique de la pleine et de son abord on se retrouver dans une espèce d'avancée verdoyante presque abusivement touffue et verte vis à vis de la saison.
Toujours est-il que leur progression aussi bruyante qu'elle fut se vit stopper net par un constat terrible de la part du binôme. En face d'eux se dresser un mur de béton d'une hauteur approximative de deux mètres poursuivit par un épais grillage vert qu'ils n'avaient pas décelés avant du fait de sa couleur et qui leur interdisait tout passage à couvert pour contourner les assaillants.

Les voilà donc devant deux choix...En face d'eux un grillage à franchir en ghillie avec les fusils et tout. Grillage branlant, avec des pics en haut, opération dangereuse avec un fort taux de probabilité de se blesser. A leur droite la forêt sur encore 5m et puis 20 à 30m de découvert en plein milieu du camps ennemi sans aucune possibilité de se mettre à couvert avant la remontée de terre qui leur permettrait de retourner sous le couvert de dame nature. Il ne convenait qu'un seul mot pour décrire cela.

« Merde »

Quoi de plus juste et de plus pertinent en l'instant ? Taraudé entre le choix de moisir dans leur bras de forêt ou d'essayer de faire demi tour, ce qui reviendrai au même puisque tout le bas de le la Zone d’Opération était occupé par les forces ennemies.
Impossible d'avancer ni de reculer, impossible d'abandonner. Coincé entre la fin du terrain et une horde d'ennemie qu'on ne pouvait défaire. L'infiltration elle même était exclue, en effet pour sortir de la cuvette l'ennemie devait se hisser sur la crête, pour redescendre à l'intérieur il avait donc une vue plongeante sur l'endroit et n'aurai pas manquer d'apercevoir deux forme sombre rampante dans les hautes herbes presque blanche de ce début d'automne.

Devant l'incapacité de bouger, le binôme décida conjointement de se poser et d'attendre. Quoi ? Eux même ne le savaient pas, une opportunité sans doute, un signe, une aide divine, n'importe quoi pour les sortir d'une telle situation.

Débuta alors une phase d'attente carrément chiante aussi longue qu'interminable jusqu'au moment où le spotter pris la parole.

« Si jte propose un truc de dingue suicidaire...qu'est ce que tu répond ?
-J'en suis.
-alors...SUIS MOI »

S'élançant comme un seul homme ils bondirent hors de la forêt se jetant sur la pleine a découvert à peine 20 mètres derrière les ennemies qui leur tournaient le dos pile à ce moment là. Courant le plus vite possible, cassés en deux pour donner l'illusion le plus possible qu'il ne s'agissait pas de deux silhouette humaine courante. S'attendant à chaque seconde à se faire tirer dessus, à entendre un cris d'alarme ils couraient sans s'arrêter, presque sans oser respirer jusqu'à arriver au pied de la butte de terre qui Horreur n'était pas une butes mais un mur de terre quasi vertical, infranchissable a première vue. La distraction suffit au spotter pour choir a cause de gravier déposer sur une tole dans un bruit monstrueux une gigantesque « CLANG »

Tout se figea pour deux, un moment qui parut durer une infinité bien qu'il dut sans doute pas dépasser les deux secondes, suffisante pour le sniper qui répondit au regard apeuré du spotter par un

« RUN! »

Cela lui fit l'effet d'un coup de fouet et se redressant d'un bond il se jeta à l'attaque de la paroi terreuse s'accrochant à tout, racine, tronc, ronce...Suivit de près par le sniper essayant tant bien que mal de grimper à la force d'un seul bras, l'autre devant tenir son bolt sans lequel il n'était rien.
Au point de stress ils ne savaient plus où ils en étaient, était ce des billes qui claquaient contre les arbres autour d'eux ou bien des brindilles qui se brisaient sur leur chemin qu'ils se taillaient au travers des arbres ? Impossible de le dire, tant qu'ils ne sentiraient pas d'impact ils ne s'arrêteraient pas.
La densité des arbres leurs permis heureusement de disparaître assez vite et de grimper l'obstacle avec moult difficultés mais ils arrivèrent finalement en haut et là seulement tombèrent a genoux et prirent le temps de respirer avant de s'octroyer un petit « bro-fist »
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Leur repos fut de courte durée, un train passant en hurlant près de la zone les força à se remettre en route pour profiter du bruit afin d'avancer plus vite sans se soucier du bruit qu'ils pouvaient faire. Ils se trouvaient à peine à quelques mètres au dessus des forces ennemies que si l'un deux tournaient là tête il aurait put apercevoir le binôme entre les feuilles avec un peu de malchance.
Pour autant les dieux semblaient être de leur côté et rien de cela ne se produisit. Au contraire, ils tombèrent dans le dos d'une escouade adverse qui bloquait la progression de tout leur coéquipier retranchés qu'ils étaient dans un hangar fortifié et derrière un mur végétal près du couvert de la forêt.

Aussi silencieux que la mort, le binôme se déporta sur leur arrière gauche et s’enfonça dans un petit massif au milieu duquel un espèce de vide en semi hauteur permettait à un tireur de se hisser invisible de tous sur un tas de planche pourrie.
Le spotter se chargea de couvrir l'avant et l'arrière tandis que le sniper se glissant le plus silencieusement possible au poste de tir épaulait déjà son fusil la première cible en joue.

Le temps de reprendre un rythme de cardiaque stable, de calmer sa respiration, il ouvrit un œil et s'abîma dans son tunnel attendant le bon moment. Son doigt pressa la détente sans a coup, doucement comme une caresse et dans un souffle le premier tir partis, si silencieux qu'il ne fut sûr d'avoir tiré qu'une fois l'impact sur sa cible confirmé.
D'un mouvement il rechambra une munition et fit feu encore, et encore et encore pour un total de 7 tir, il fit mouche 7 fois.

Soudain un mouvement sur sa droite, changement de position, de visée et ciblage sur un hostile fonçant vers sa position sans le voir.

La voix du spotter derrière lui

« Fait pas le con ! Baisse toi ! »

Malheureusement le doigt avait déjà pressé la détente. Et le projectile heurta sa cible en plein torse, la dernière chose que celui ci vu vu sans doute le mouvement dans le massif en face de lui.

« On décroche.
-Droite ? Gauche ?
-Gauche on sort de là, ils nous arrivent dans le cul !
-j'ai des contacts dans le hangar !
-amis ?
-je sais pas...
-on a pas le choix ça arrive faut tenter »

le spotter se déployant en couverture vers le bois le sniper passa derrière lui au moment ou du hangar sortait un groupe d'alliés qui les mirent en joues.

« CAMO CAMO CAMO!
-Hey on a les snipers qui reviennent pour vous dans le hangar tirez pas ! »

A peine à couvert que des tir se faisaient entendre pendant que ripostaient leurs alliés, un dernier coup d’œil en arrière avant le replis, un dernier tir, un dernier out sur une fille mal positionnées. 9 kill confirmés.

Ensuite le replis jusqu'au camps de base, tranquille, derrière les lignes alliés, le binôme souffle enfin.

« Hey les Ghillies ! »

Le même mec avec son gilet et son A-Tac

« On vous a eu?
-Non...on s'est infiltré, on a tué tout le monde on est revenu, on a plus de munition.
-Ben ça...Y'avait un contrat sur vos tête pourtant. »
Dernière modification par Panda le 26 déc. 2012 0:52, modifié 1 fois.
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Re: Run buddy run

Message par whatsupgenies » 13 nov. 2012 23:35

Gaaaah...c 'était tellement bon! ce run dans la plaine m'a vraiment paru interminable perso!! il aurait suffit qu'un seul d'entre eux tourne la tête... et à 15-20m complétement à découvert contre une dizaine d'aeg... mon Mp7 m'a paru bien faiblard dans les mains d'un coup! j'en reviens toujours pas qu'ils ne nous aient pas vu, ni entendu... à aucun moment, apparemment ils nous ont cherché pendant toute la partie, c'était un des objectifs principaux de leur équipe! héhé! c'est toujours gratifiant!

Super retex, c'est à peu près comme ça que je l'ai ressenti aussi de mon côté! en espérant qu'il se passe d'aussi belles choses le 17!
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Re: Run buddy run

Message par DieZeL » 20 déc. 2012 12:26

Belle histoire :)

(Oui, j'suis pas mal à la bourre :mrgreen: )
Les filles, c'est comme un engrenage... Une fois que tu as mis le doigt dedans...

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Re: Run buddy run

Message par loky » 20 déc. 2012 13:47

J'aime beaucoup les 3 dernières lignes :mrgreen:

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Re: Run buddy run

Message par Pepper » 21 déc. 2012 9:51

Ouch, quel récit ! (avec un peu de retard aussi :mrgreen: )
En tout cas bravo pour la plume, ça donne vraiment envie d'y être... vivement le 26 que je vive ça de l'intérieur !
Pepper

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Re: Run buddy run

Message par Alumyx » 21 déc. 2012 14:29

Récit très bien écrit, et tout aussi sympathique à lire ! Bravo à vous deux, un vrai travail de pro !
Dernière modification par Alumyx le 26 déc. 2012 11:58, modifié 1 fois.
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Re: Run buddy run

Message par Panda » 26 déc. 2012 0:54

merci les gens!
La partie du 26 sera sans doute assez différente parce qu'on ne sera pas une centaine comme là, mais elle sera tout aussi, voire plus, intense et ça je peux le promettre au regard de la première partie ^^

@ALumyx : tout est calculé hin hin hiin...(j'ai corrigé et je relis pour trouver ce qui va pas pardon pardon pardon)
Epèle le mot taciturne! S-N-I-P-E-R, taciturne!

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