@ dusty : je corrige jamais en situation, mais cela permet de corriger rapidement tes réglages durant une OP par exemple : si au petit matin, ton join hopup accroche moins à cause de la température en baisse, tu peux modifier ton zerotage en 2 temps trois mouvements, et revenir sans te tromper au réglage "neutre" l'après midi.
Par contre, tu es sur de savoir ce dont tu parles à propos du parallaxe ? Juste au cas où : http://www.tirmaillyforum.com/mildot/vi ... t=paralaxe
Et comme cette lunette dispose d'un réglage du focus, on peut neutraliser le parallaxe... Mais bon, à nos distances de tirs, ce n'est pas bien grave. Et au pire, le focus est gradué de 10 m en 10 m pour les distances qui nous intéresses, d'ou l'avantage de cette lunette !
De même, pour l'effet tunnel, je suis sur que tu te plante : c'est un effet quantique plutôt pointu pour l'avoir étudié :
Sinon, ma lunette n'est pas très haute : le bas de la lunette est à peut près à 1 cm du canon... De toutes façons, en zoom mini, je vois apparaître le frein de bouche dans la lunette, donc mettre la lunette plus bas serait idiot. Quand à la hauteur de la lunette et ses répercutions sur nos corrections, j'ai envi de dire que c'est ridicule en airsoft : ta bille sera certainement 30 à 50 cm au dessus de ton zérotage à son apogée si tu l'as réglé pour 60 m : ce n'est pas 2/3 cm de plus ou de moins qui changeront grand chose pour nous, je peux t'en apporter la preuve mathématique si tu veux !Wikipédia a écrit :L'effet tunnel désigne la propriété que possède un objet quantique de franchir une barrière de potentiel, franchissement impossible selon la mécanique classique si l'énergie de la particule incidente est inférieure à l'énergie potentielle qu'elle doit acquérir, au détriment de son énergie cinétique, pour passer au-dessus de la barrière. Pour une telle particule, la fonction d'onde, dont le carré du module représente la densité de probabilité de présence, ne s'annule pas au niveau de la barrière, mais s'atténue à l'intérieur de la barrière, pratiquement exponentiellement pour une barrière assez large. Si, à la sortie de la barrière de potentiel, la particule possède une probabilité de présence non nulle, elle peut traverser cette barrière. Cette probabilité dépend des états accessibles de part et d'autre de la barrière ainsi que de son extension spatiale.
PS : c'est Alumyx, pas Alumix !